Oui c'est le 4AGE
Sinon pour revenir à la comso, ma deuxième session je l'ai faite au ralenti, témoin de réserve allumé
Plein à la pompe de Marguerite, et donc 32L
Il est pas bien gros le réservoir sur la MR2, il est placé sous le tunnel central entre les sièges (rassurant
) il ne doit pas y avoir beaucoup de places.
Sinon quelques impressions de conduite :
Alors, c'est ultra-stable, le fait d'avoir tout le poids derrière permet d'avoir un avant sécurisant.
Lors d'un appui même si le nez ballade un peu, sous-vire ou lit la route il n'y a aucune inertie, une simple correction du volant permet d'immédiatement reprendre son cap.
C'est comme quand on tiend une masse à bout de bras, bras tendu à l'horizontale, on a du mal à rester fixe, ben là il n'y a pas de poid :]
Fait amusant, à Lédenon je me suis rendu compte qu'on passait mieux les virages en accélérant fort
garder du gaz permet d'augmenter le grip directionel.
Enfin bref, le central-arrière c'est vraiment une conduite à part, autant la MX5 est fun et permet beaucoup plus de jouer sur les dérives aux limites, autant la MR2 c'est un bistouri, on prend un cap et on passe
Rigolo : quand on prend une (mauvaise) trajectoire en plongeant trop tôt sur la corde, on peut faire de petits lachers de pédale pour faire décrocher l'arrière (très peu) et on enroule le virage à la corde dans un mouvement saccadé.
C'est plus lent qu'une meilleure trajectoire, mais ça permet de faire l'intérieur à quelqu'un, genre ceux qui sont plus rapides en ligne droite mais moins maniables en virage :]
Les pertes de tenue de route sont abruptes.
Ca tient très très loin, mais quand ça part ça part.
J'ai fait un beau 360 le matin (mon tout premier
), par contre ça tourne sur place, on ne va pas se jetter dans une barrière ou un bac, c'est rassurant.
L'après midi, presque pareil et au même endroit, sauf que là, saississant mieux les limites du décrochage, je l'ai senti, voire même anticipé
En fait ça décroche lorsque le poids bascule sur un côté (G ou D) donc avant même de la sentir partir, et quand on ressend bien les transferts de masse, on se doute de ce qui va arriver.
Là je remercie mes années de conduite en FR, passer en virage placé sur le transfert de masse c'est un art de vivre :] du coup on apprend à analyser sur quel coin est le poid, et sur lequel il va basculer.
Bref la deuxième fois, en anticipant un peu (soulageant les gaz) le Uc' a décroché, mais sans embarquer l'avant.
Bref un petit 120° je dirai, qui a pu être récupéré même si c'était un peu brouillon, question d'habitude sans doute.
Bref la conduite rapide demande encore plus d'attention sur le transfert latéral, par contre en longitudinal il n'y en a pas :] tout le poids est derrière, ça ouvre plein de possibilitée.
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il est rougeaud et ratâtiné 
